Le plomb s’avère être un bon matériau en tant que métal, cependant, il renferme des propriétés toxiques qui ne sont guère favorables à l’organisme humain. Cet élément métallique est l’un des polluants pour l’environnement qui a des effets nocifs in utero sur le fœtus tout comme le mercure et le bisphénol A.

Des résultats positifs

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L’Institut de Veille Sanitaire InVS a évoqué l’exposition des femmes enceintes et des enfants au plomb lors de deux conférences internationales sur la santé et l’environnement. C’était l’occasion pour l’InVS de donner les premiers résultats qui démontrent que les indicateurs sont à la baisse. Ainsi donc, les femmes enceintes et les enfants in utéro sont de moins en moins exposés aux polluants dont le plomb.

1968 femmes observées

L’étude s’est portée sur 1.968 femmes dont on a prélevés des échantillons de sang au moment de l’accouchement. Dans l’ensemble, la concentration moyenne en plomb est de 8,30 µg/L.

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L’institut a conclu que : « les niveaux observés sont inférieurs à ceux mesurés dans les études antérieures réalisées en France et à l’étranger. Ils s’inscrivent ainsi dans la tendance à la diminution des plombémies, constatée en France et en Europe depuis les années 1990, suite notamment à l’interdiction de l’essence plombée ». Il est à noter que de fortes concentrations de plomb dans le sang peuvent avoir des effets nocifs chez le nourrisson d’où la nécessité de toujours faire un diagnostic immobilier du plomb.